J'ai lu ce roman par ennui, ne faites pas la même erreur. Ce texte regroupe tout les pires clichés de la science-fiction, avec en premier lieu de la vulgarisation scientifique comme prétexte à l'intrigue.
"Eh bien, chaque créature vivante, tout en étant une sorte de structure opérationnelle, comporte également des plans pour se reconstruire. C'est ce que les biologiste appellent le capital génétique." p41Pour faire court : un extraterrestre débarque sur Terre, et il a le pouvoir de manipuler le code génétique, de prendre la forme qu'il veux. Voilà. Et il prend le contrôle du monde. C'est fou.
Intrigue ultra-banale, écriture fade, traduction approximative, pensées profondes de l'auteur vraiment bidons.
La meilleure chose dans ce roman, c'est sa couverture : argentée avec des points noirs, très stylisée. Je dois au moins reconnaître ça : c'est pour sa couverture que j'ai pris ce livre dans la bibliothèque.
Les hommes molécules, Fred Hoyle et Geoffrey Hoyle, 1973, Albin Michel
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