23.7.11

Les hommes molécules - Fred Hoyle et Geoffrey Hoyle

"J'attendais avec impatience que les bagages consentissent à émerger d'une sorte de four crématoire à l'envers."

J'ai lu ce roman par ennui, ne faites pas la même erreur. Ce texte regroupe tout les pires clichés de la science-fiction, avec en premier lieu de la vulgarisation scientifique comme prétexte à l'intrigue.
"Eh bien, chaque créature vivante, tout en étant une sorte de structure opérationnelle, comporte également des plans pour se reconstruire. C'est ce que les biologiste appellent le capital génétique." p41
Pour faire court : un extraterrestre débarque sur Terre, et il a le pouvoir de manipuler le code génétique, de prendre la forme qu'il veux. Voilà. Et il prend le contrôle du monde. C'est fou.

Intrigue ultra-banale, écriture fade, traduction approximative, pensées profondes de l'auteur vraiment bidons.

La meilleure chose dans ce roman, c'est sa couverture : argentée avec des points noirs, très stylisée. Je dois au moins reconnaître ça : c'est pour sa couverture que j'ai pris ce livre dans la bibliothèque.

Les hommes molécules, Fred Hoyle et Geoffrey Hoyle, 1973, Albin Michel

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